Juliette Frémont Messages : 5688 Popularité : 12 Date d'inscription : 03/06/2008
Identité Amis: Estelle, Rudy, Ninon , Djawad Ennemis: Céline et Vincent Amour: Ninon ♥ | Sujet: Ma mère est vivante ! Ma mère est vivante ! Dim 6 Juin 2010 - 15:07 | |
| Suite du topic https://pblv-rpg.forums-actifs.net/le-cimetiere-f33/deterre-la-tombe-d-astrid-pdt-la-nuit-pv-luca-et-victoir-t3799-30.htmJuliette venait de déterrer le cercueil de sa mère, pour vérifier s'il contenait un corps ou non. Elle venait d'apprendre que ce cercueil était vide ou plus précisément, qu'il était rempli de pierres. Sa mère était donc vivante. La femme qu'elle avait vu au cimetière, était donc bel et bien sa mère. Juliette était vraiment très mal de voir que la femme qu'elle avait tant admiré, avait agit comme son père. Juliette avait aussi conscience de la gravité de ce qu'elle venait de faire au cimetière avec Lucas et Victoire. Elle arriva aux calanques vers 03h du matin, elle n'avait pas le choix que de dormir dehors. Elle avait fait croire à Pascal qu'elle avait dormi à l'hôtel. Elle comptait rentrer au petit à la maison, faisant comme si de rien n'était mais Juliette savait que très vite serait découvert, ce qui s'est produit au cimetière. Juliette s'allongea au bord d'une falaise. Elle avait sa lampe de poche avec elle. Elle écouta le bruit des vagues, qui raisonnèrent. Le ciel se trouvait également étoilé et en ce mois de Juin, les nuits commencerent sérieusement à se réchauffer. Juliette n'avait pas froid. |
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Juliette Frémont Messages : 5688 Popularité : 12 Date d'inscription : 03/06/2008
Identité Amis: Estelle, Rudy, Ninon , Djawad Ennemis: Céline et Vincent Amour: Ninon ♥ | Sujet: Re: Ma mère est vivante ! Ma mère est vivante ! Dim 6 Juin 2010 - 22:52 | |
| Elle réussit néanmoins à dormir malgré plusieurs faux départs. A chaque fois qu'elle fermit, Juliette voyait apparaître la fantôme de sa mère. Il y avait aussi une voix dans sa tête qui lui faisait comprendre la gravité de son acte. Elle finit par s'endormir et se réveilla le lendemain matin prêt à rentrer chez Pascal, comme si de rien n'était.
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