Les planques ds la police ça a du bon (Benoit Très Très HOT)

~La belle flic~

Marie avait donc entrainer Benoit dans la fameuse petite planque qu'elle connaissait. Bien sur elle avait bien fait attention pour voir si elle n'était pas occupée. Si un de ses collège l'avait aperçue rentrer en riant tout en tenant la main de son compagnon elle aurait perdu en autorité au bureau.

C'est donc en riant qu'elle entra dans le petit cagibi qui servait soit disant de local pour les pêcheurs. Mais a l'intérieur c'était tout autre! Il y avait un bureau ainsi que quelque chaise et un matelas au sol. Dire que lors d'une planque elle avait dormit ici et que c'était loin d'être dans la même ambiance que ce qu'elle allait faire a présent!
Elle souria tout en attirant Benoit a elle afin de l'embrasser. Elle claqua la porte derrière eux et continua de l'embrasser tout en l'amenant vers le lit.
Ils ne purent évidement s'empêcher de se plaquer l'un l'autre contre les parois comme si chacun voulait dominer l'autre. Le lit étant trop bas, il restèrent debout quelque instant, bouche contre bouche, s'oxygénant de temps a autre en profitant pour en enlever quelque vêtements.

A l'allure ou ils allaient on aurait presque dit qu'il étaient presser, qu'ils avaient un train a prendre... mais en réalité Marie voulait juste rattraper le temps perdu, parce qu'a son gout, elle en avait effectivement perdu beaucoup!

~ L'homme maudit ~

Le dégoût du sexe avait fini par arriver chez Benoit mais Marie avait réussi en une poignée de secondes à lui faire enlever ce dégoût. Il allait enfin refaire l'amour par désir, chose qui n'était pas réelle avec Agnès. Tout au long du voyage, Benoit n'avait pensé qu'à faire l'amour avec Marie, faire l'amour comme des bêtes sauvages. Plusieurs fois, il avait failli demander à Marie d'arrêter la voiture sur le bord de la route parce qu'il n'arrivait pas à contrôler son exitation. L'amour que Benoit portait à Marie était intense et sexuellement, Benoit savait que Marie était vraiment une bombe. Il allait sûrement faire des jaloux mais Marie était la femme qui allait partager sa vie, une vie qui ne serait plus bouleversée selon Benoit car il ferait tout pour que ce bonheur soit cette fois éternel. Lorsqu'ils arrivèrent dans le petit cagibi, Benoit commença à enlever son pantalon à l'extérieur. Ils enlevèrent le reste à l'intérieur.

Toujours plaqué l'un contre l'autre, Benoit enleva la totalité de ses vêtements, et commença à caresser Marie dans le dos, et sur les fesses. Il se laissa guider par son désir qui devenait de plus en plus incontrôlable. Cela donnait l'impression que Benoit n'avait pas mangé depuis des semaines mais comment tenir aussi longtemps sans sexe ? Benoit l'avait partait fait avec Agnès mais comme il n'avait aucun plaisir, cela revenait au même.

Maintenant que Marie et lui étaient nus, Benoit entraîna Marie sur le lit mais le train qu'ils venaient de prendre, se mit à ralentir...

~La belle flic~

Marie ne pouvait s'empêcher de sourire en voyant que Benoit était aussi pressés qu'elle. Il s'était tellement dépêché a lui enlever ses vêtements qu'elle se demandait si elle allait les retrouvait encore intact après.
Mais ne pouvant réfléchir plus, elle se laissa entrainer par Benoit sur le petit lit d'appoint. C'était un lit une place mais, il allait faire l'affaire du moins pour l'heure a venir.

Le sentant ralentir dans ses geste, dans ses caresses, elle compris aussitôt qu'il voulait savourer le moment tout comme elle. Tandis qu'elle l'embrassait encore et toujours, ne se lassant pas de ses baisés, elle laissa ses mains parcourir le corps de son partenaire. Lui caressant le dos de temps a autre, remontant dans ses cheveux...

Elle avait presque envie de retourner la situation en sa faveur en se mettant sur lui mais le lit était si étroit qu'ils seraient tombés par terre. Elle se contenta de le laisser mener la danse , et de se faire entrainer a son rythme...

~ L'homme maudit ~

C'est le moindre qu'on puisse dire, le lit était vraiment trop étroit mais heureusement que le côté maigre de nos deux amoureux étaient présents. Alors que Benoit continuait de savourer ce moment rempli de passion, il fut gêné par le sou-tif de Marie, qui traîna là sur le lit. Pensant pouvoir gagner un peu de place (^^), il se mit à le lancer n'importe où. La fenêtre du cagibi était ouverte et le sou-tif se retrouva à l'extérieur. Une personne le prit sur la tête, c'était en fait Agnès qui les avait suivi mais aucun d'eux ne s'en était rendu compte.

Après ce petit lancer franc, Benoit reprit là où il en était et continua d'accroître son excitation qui arrivait peu à peu à son maximum. Il voulait offrir à Marie un moment magique et inoubliable, au fond, comme si Marie faisait l'amour pour la première fois de sa vie. Oui lui offrir une seconde "première fois" était pour lui important pour montrer à Marie à quel point il l'aimait.

Avoir des petits accessoires n'aurait pas été de refus mais Benoit n'avait rien à sa disposition. Il devait faire avec ses propres moyens mais il en avait des ressources pour satisfaire Marie et la faire jouir comme il le fallait, de façon bien dosée.

Après de nombreux baisers dans le cou, sur l'abdomen et les seins, Benoit se laissa dicter sa conduite par son excitation et son désir. Il continua dans les préliminaires (et notamment par un cunni), afin d'amener Marie peu à peu à l'acte. Il voulait absolument lui donner un bel orgasme. Il plaça alors son sexe à l'entrée de celui de Marie et commença à varier le rythme et n'oublie pas le regard qui était primordial afin de savoir si Marie s'ennuyait ou si elle prenait un vrai plaisir...

~La belle flic~

Marie était complètement détendue, les caresses brulante de Benoit l'emmenait petit a petit vers leurs paradis. Rien ni personne n'aurait pu a cette instant rompre le charme. Car elle était complètement envoutée, tellement qu'elle avait finit par fermer les yeux afin de savourer encore plus ce moment, elle se laissait guidée par lui, elle tentait de lui rendre ses caresses mais ses gestes étaient fébrile, elle tremblait sous le désir palpable qui régnait dans la pièce.

Elle n'avait même pas fait attention au fait qu'il avait lancer son soutien gorge dehors... Elle s'en rendrait bien compte assez tot lorsqu'ils quitteraient la pièce.
Mais pour l'instant marie ne pensait pas au futur, jute a l'instant présent se délectant de ses caresses, de ses baisées. Elle n'avait pas le temps de reprendre son souffle, les caresses de Benoit s'enchainait et a cette allure elle allait finir par exploser.

Lorsque celui ci commença a rentrer en elle, Marie ouvrit difficilement les yeux, rongée par le plaisir, et commença a gémir doucement... Apres tout on pouvait les entendre, ils fallait être un minimum discret... Mais sans doute, plus tard, Marie finirait par occulté la fenêtre ouverte...

Elle attira Benoit vers elle afin de l'embrasser, jouant dans ses cheveux, lui tirant légèrement même lorsque celui ci tentait un coup de rein plus profond que les autres.

Marie avait vraiment tout pour etre comblé.... A ce moment même, elle ne voulait rien d'autre que cet instant présent.

» Vient voir Benoît[PV BENOIT]
» Attend Benoît[PV Benoît]
» Ne se sent pas très bien [Libre]
» Arrêté par la police
» Bousculade pas très professionnelle{Elvire

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